Ce blog met en avant les sources d'énergies vertes

L’univers des centrales solaires s’apprête à être transformé par l’arrivée de l’Antecursor II. Ce robot, créé par la société Arbórea Intellbird, promet d’apporter de nouvelles possibilités grâce à sa polyvalence. Il incarne non seulement la modernité, mais aussi l’efficacité pour les installations solaires. Sa conception avancée résulte de l’intégration de plusieurs technologies dernier cri, incluant la connexion Starlink et l’intelligence artificielle.

La connectivité Starlink est l’un des points forts de l’Antecursor II. Grâce à cette technologie, le robot peut opérer de manière autonome, n’importe où sur la planète. La surveillance en temps réel et les interventions rapides sont grandement facilitées grâce à cette connexion. De plus, des capteurs intégrés permettent de repérer les anomalies dans les zones critiques des panneaux solaires, telles que les porte-fusibles et le câblage.

L’intelligence artificielle offre un autre avantage majeur à ce robot. Elle lui permet d’étudier en temps réel les informations recueillies et de signaler toute anomalie détectée au centre de contrôle.

Le robot Antecursor II transforme l’industrie des centrales solaires

En plus de ses fonctions de surveillance, l’Antecursor II dispose d’un système de maintenance innovant pour gérer efficacement les mauvaises herbes susceptibles d’affecter le rendement des panneaux solaires. Ce robot écologique est équipé d’une débroussailleuse qui a pour but d’éliminer les mauvaises herbes sans endommager les modules. De plus, le processus de mulching utilisé enrichit le sol, participant ainsi au respect de l’environnement.

Doté d’une autonomie de 30 heures, d’un fonctionnement silencieux et d’une absence d’émissions, l’Antecursor II représente un précieux allié pour réduire l’empreinte environnementale des centrales solaires. Sa capacité à fonctionner de nuit en fait un outil adaptable à toutes les situations, peu importe les conditions environnementales.

Le groupe Société Générale a récemment annoncé la signature d’un accord de fourniture d’électricité solaire avec JP Energie Environnement (JPee), un producteur français d’énergie renouvelable. Ce contrat, d’une durée de 20 ans, marque un engagement fort en faveur de la transition énergétique. Il s’agit d’une étape importante dans l’accélération du développement des capacités de production d’énergie verte en France.

Ce partenariat a pour but de mettre en place d’une centrale photovoltaïque à Arpheuilles, dans la région Centre-Val de Loire. La centrale devrait entrer en service d’ici 2026 et fournira entre 10 % et 15 % des besoins énergétiques des services centraux et du réseau de la banque en France par an. Cette production annuelle est estimée à 16,7 GWh. Le projet implique l’utilisation de 14,2 hectares de terres agricoles, tout en préservant l’activité agricole existante, notamment une bergerie et un élevage ovin.

La Société Générale s’engage ainsi à soutenir JPee dans sa transition vers les énergies renouvelables, renforçant ainsi sa compétitivité sur le marché français. Les Power Purchase Agreements (PPA) offrent un cadre financier propice au financement de tels projets, favorisant ainsi de nouvelles installations et investissements dans les énergies vertes. Ce contrat marque le quatrième accord de fourniture d’électricité de long terme signé par JPee depuis 2023.

La Société Générale mise sur le solaire

Crédit photo : Société Générale/CC0 1.0 universel (CC0 1.0)

Cette initiative témoigne de l’engagement de la Société Générale en faveur de la transition énergétique et de sa volonté de décarboner ses activités. En 2019, la banque avait déjà signé un contrat similaire avec EDF pour l’approvisionnement en énergie éolienne. Ces actions soulignent l’importance de l’implication des entreprises dans la lutte contre le changement climatique et la promotion des énergies renouvelables.

Récemment dans la région, la centrale solaire d’Albias représente un pas important vers une énergie plus propre et autonome pour le Tarn-et-Garonne. Implantée sur une parcelle de 9 hectares, elle est équipée de 9 000 panneaux photovoltaïques, générant une production annuelle de 7 GWh. Cette énergie répond aux besoins de 3 700 habitants, alimentant ainsi le réseau local en énergie propre.

Ce projet a nécessité d’importants investissements, avec une contribution financière de 6 millions d’euros de Total Energies, en plus de la participation de firmes locales. La collaboration entre ces différents acteurs a permis la concrétisation de la centrale. De plus, le site a été aménagé pour accueillir des installations, à la fois fixes et mobiles, équipées de tracker solaire suivant la trajectoire du soleil pour maximiser l’efficacité énergétique.

Cette initiative a été remarquablement bien accueillie, avec peu de contestations. Les autorités locales et les représentants de Total Energies ont souligné la fluidité du processus de développement, en dehors de quelques questions mineures liées à l’archéologie. L’installation des panneaux solaires a été non seulement une réussite technique et économique, mais également sociale, grâce à une approche respectueuse envers la communauté locale et l’environnement.

L’implantation d’une centrale solaire à Albias

Crédit photo : fabersam de Pixabay

L’implantation de la centrale sur une ancienne friche industrielle témoigne d’une prise de conscience quant à la préservation des terres agricoles. Cette reconversion contribue à réduire l’impact environnemental tout en soutenant les objectifs de neutralité carbone. Aussi, la mise en place d’un écopâturage permanent avec des ovins permet un entretien naturel du site, réduisant ainsi la nécessité d’interventions mécaniques et humaines fréquentes.

À l’automne 2020, Disneyland Paris avait entrepris un vaste projet pour installer la plus grande centrale en ombrières photovoltaïques d’Europe. Aujourd’hui, le vaste parking du célèbre parc d’attractions, accueillant 11 200 voitures, est désormais doté de 80 000 panneaux photovoltaïques. Cette installation permettra au parc de produire 36 GWh d’électricité par an, soit les besoins énergétiques d’une ville de 17 000 habitants. S’étendant sur une superficie de 20 hectares, cette ferme solaire contribuera à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 890 tonnes de CO2 chaque année dans la région du Val d’Europe, qui englobe notamment Disneyland Paris.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus respectueuse de l’environnement adoptée par Disneyland Paris. Actuellement, 18 % des besoins en chauffage des parcs d’attractions et de l’hôtel Disneyland sont déjà couverts par la géothermie, en partenariat avec le centre de vacances de Center Parcs, Villages Nature Paris.

Disneyland Paris mise sur le solaire

Crédit photo : cordulaaa de Pixabay Top of Form

Par ailleurs, Disneyland Paris prévoit la mise en place d’une thermofrigopompe, une pompe à chaleur polyvalente capable de fournir chauffage, refroidissement et climatisation simultanément. Cette nouvelle technologie devrait permettre de réduire de 9 % les émissions de gaz à effet de serre, de 14 % la consommation de gaz naturel et de 10 % les besoins en chauffage de la destination. En outre, la thermofrigopompe contribuera à économiser environ 30 000 mètres cubes d’eau recyclée provenant de la station de traitement des eaux usées de Disneyland Paris. Cette eau économisée pourra être réaffectée à d’autres utilisations, telles que le nettoyage des rues ou l’arrosage des espaces verts.

La ville d’Ulsan, en Corée du Sud, investira 23,5 milliards de wons (équivalant à 16 millions d’euros) pour inaugurer en 2028 sa première ligne de tramway à hydrogène. Cette ligne, longue de 4,6 km, reliera les gares de Taehwagang et Jangsaengpo, offrant la possibilité de transporter jusqu’à 200 passagers par tramway. Pour promouvoir ce tramway à hydrogène, la ville organise actuellement, en collaboration avec Hyundai Rotem, des essais gratuits pour les citoyens et les touristes, partant de la gare portuaire d’Ulsan. Trois sessions d’essai sont programmées chaque jour jusqu’au 10 mai.

Un tramway à hydrogène à Ulsan

Crédit photo : Skitterphoto de Pixabay